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La formation des travailleurs de terrain
Les salariés qui exercent sur le terrain, souvent en contact avec le public, sont souvent les parents pauvres de la formation et leurs besoins en la matière est souvent sous-évalués. Une étude réalisée par l'Ifop pour le compte de la plateforme Beedez met en lumière leurs spécificités et leurs attentes en matière de formation.
Acteurs essentiels de la chaîne de travail, les travailleurs terrain recouvrent une multitude de professions, du vendeur à l’ouvrier en passant par le technicien, avec un point commun : ils ne sont pas derrière un bureau. Et presqu’un quart d’entre eux n’ont bénéficié d’aucune formation dans les six dernières années.
Les principaux métiers concernés :
- les métiers du secteur socio-médical
- les ouvriers
- les métiers de la vente
- les secrétaires, standardistes, assistants, agents d'accueil.
Les entreprises, aujourd’hui conscientes de leur rôle crucial dans la continuité des opérations, réorientent leurs budgets digitaux et de formation vers ces travailleurs.
Cette étude répond à plusieurs questions fondamentales :
- Qui sont réellement ces travailleurs terrain en France ?
- Pourquoi la notion de "frontline workers", courante dans les pays anglo-saxons, peine-t-elle à s'imposer en France ?
- Quelles sont les attentes de ces populations en matière de formation, et comment peut-on les accompagner plus efficacement dans leur montée en compétences ?
Selon l'étude, la plupart des travailleurs de terrain exprime un intérêt pour la formation que ce soit pour développer leurs compétences en vue de progresser professionnellement, de mieux exercer leur métier au quotidien et même, dans une certaine mesure (20 %) pour évoluer personnellement. Si les formations classiques organisée par l’entreprise en présentiel restent demandées (37 %), ces sessions ont souvent du mal à faire le plein. Sur le terrain, l’apprentissage entre collègues est davantage plébiscité (63 %).