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Transformation et disparition des métiers : le regard des actifs sur la transformation des métiers
IFOP
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SIACI Saint Honoré, expert en accompagnement des mutations et des transformations organisationnelles et humaines, a mené avec l’Ifop une enquête afin de recueillir le regard des actifs sur la transformation de leurs métiers.
Ce sondage a permis de « donner la parole » aux salariés, cadres comme ouvriers, indépendants, agents du secteur public ou encore demandeurs d’emploi vivant en France pour mieux cerner leurs perceptions de l’avenir de leurs métiers.
Il ressort que, si une majorité des actifs exprime un haut niveau de satisfaction générale à l’égard de sa situation professionnelle, celle-ci s’accompagne d’une forte demande de reconnaissance et d’une difficulté à se projeter dans sa carrière. L’enquête révèle par ailleurs que la diffusion du sentiment d’une transformation – voire d’une disparition – de son métier est loin d’être négligeable parmi les actifs : plus d’un tiers d’entre eux estiment que leur métier va « beaucoup » ou « complètement » se transformer à l’avenir et un tiers considère même qu’il pourrait disparaître dans les années à venir, dont la moitié dans moins de dix ans.
Les actifs anticipant une disparition de leur métier adoptent principalement une attitude attentiste (36 %), voire de découragement total (15 %). Au-delà, l’ensemble des actifs disent très majoritairement ne pouvoir compter que sur eux-mêmes lorsqu’il s’agit de répondre à leurs aspirations professionnelles, les responsables des ressources humaines et représentants syndicaux n’apparaissant qu’en bas de classement parmi les interlocuteurs envisagés. Dans ce contexte, le CPF (compte personnel de formation), pourtant connu de 81 % des actifs, est utilisé par moins d’1 actif sur 5.
Au total, l’enquête révèle un monde du travail lucide mais désarmé face aux transformations en cours.
Ce sondage a permis de « donner la parole » aux salariés, cadres comme ouvriers, indépendants, agents du secteur public ou encore demandeurs d’emploi vivant en France pour mieux cerner leurs perceptions de l’avenir de leurs métiers.
Il ressort que, si une majorité des actifs exprime un haut niveau de satisfaction générale à l’égard de sa situation professionnelle, celle-ci s’accompagne d’une forte demande de reconnaissance et d’une difficulté à se projeter dans sa carrière. L’enquête révèle par ailleurs que la diffusion du sentiment d’une transformation – voire d’une disparition – de son métier est loin d’être négligeable parmi les actifs : plus d’un tiers d’entre eux estiment que leur métier va « beaucoup » ou « complètement » se transformer à l’avenir et un tiers considère même qu’il pourrait disparaître dans les années à venir, dont la moitié dans moins de dix ans.
Les actifs anticipant une disparition de leur métier adoptent principalement une attitude attentiste (36 %), voire de découragement total (15 %). Au-delà, l’ensemble des actifs disent très majoritairement ne pouvoir compter que sur eux-mêmes lorsqu’il s’agit de répondre à leurs aspirations professionnelles, les responsables des ressources humaines et représentants syndicaux n’apparaissant qu’en bas de classement parmi les interlocuteurs envisagés. Dans ce contexte, le CPF (compte personnel de formation), pourtant connu de 81 % des actifs, est utilisé par moins d’1 actif sur 5.
Au total, l’enquête révèle un monde du travail lucide mais désarmé face aux transformations en cours.