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A la Réunion, l'épidémie du chikungunya est aussi l'occasion de rebondir
Support diffusion : POINT D'ACTUALITE-2006/14
Plutôt que de subir le chômage partiel dû à la baisse de l’activité, des salariés de l’hôtellerie-restauration bénéficient de formations. D’autres secteurs du tourisme pourraient enclencher une démarche identique. L’Etat, la région, l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) et les organismes paritaires agréés chargés de la collecte des fonds de la formation professionnelle (Opcareg et Agefos-PME) ont réagi en signant, le 23 février, une convention-cadre pour mettre sur pied des parcours individualisés de formation. Objectif : maintenir dans l’emploi des salariés menacés de licenciement économique et leur offrir par la même occasion une "alternative positive" au chômage partiel.